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Je ne sais pourquoi l’écrivain prend si souvent le risque de se relire. Il doit aimer se faire du mal, se croit incapable d’être, d’avoir bien fait. L’écrivain a autant de nombrils que de regrets. Toujours hanté par son perfectionnisme, il tombe forcément sur quelques coquilles, dont les amandons, amers et inaccessibles, font entendre leur…