(La fleur de douche & le gant de crin)
« Quelle histoire ! Il fallait en rester à l’incipit sinon l’étirer vite jusqu’au point final — Pas évident de retrouver la première page sous ton millefeuille de soins ‘‘à la japonaise” tu dis
Dire que j’avais écrit à même la peau et jusque dans la paume quelques antisèches en matière de rabibochage — Et puis quoi ? elles auront toutes disparu dans l’eau du bain où marine la fleur de douche où macère encore ton gant de crin
Je les pensais indélébiles comme c’était à l’encre de seiche or il n’en reste plus aucune trace rien — Rien que ta peau décapée néanmoins douce ta peau d’ores et déjà de petite geisha »