Je ne sais comment redescendre des faîtes de No-Elle. Pardonnez ce franglais : la Tour de Ma Belle, un hiver, s’est effondrée. Douloureuse est la parole quand les lèvres à ce point sont gercées, à l’instar de la terre sur laquelle les langues et ta voix, lourdement, sont tombées. Reste l’œcuménique espéranto qui, j’ose le penser, porté par la ligature du eux et du haut, rassemblera vivants et trépassés. Mi amas vin, panjo.