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Je ne savais pas que, peu de temps avant sa mort, Roland Barthes écrivait un texte sur Stendhal, intitulé On échoue toujours à parler de ce qu’on aime. De mon point de vue, j’échoue surtout depuis que celle que j’aime ne parle plus. Je suis l’éternelle perdante ; tu es l’éternelle perdue.

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