Je ne sais pas pourquoi l’on s’obstine à croire que je ne suis pas sociable ! On doit interroger les mauvaises personnes. Il ne faut pourtant pas se fier aux apparences : on entre dans ma chambre comme dans un moulin si l’on est capable de traverser les murs (j’admets ne pas supporter le grincement des portes, et j’apprécie que le sol soit touché le moins souvent possible). En somme, il suffit de ne pas être un moulin à paroles, et d’avoir un peu de savoir-vivre ; contre toute attente, il s’avère que les morts correspondent mieux aux critères.