On sait désormais, malheureusement trop en avance, que non, l’année ne sera pas bonne ; et ce, malgré les souhaits, trop polis, si prévisibles, des indéfectibles optimistes. Les meilleurs vœux, d’habitude autorisés à être présentés tout au long du mois de janvier, pourront – devront, à vrai dire – s’arrêter, cette année, à partir du sept janvier deux mille quinze.