Je ne savais pas que le flirt venait sans doute du fleuret, cette arme blanche fort utile en escrime, et autres combats de coqs. Par ailleurs, le jeu de l’amour et du hasard tisse des liens évidents avec celui du chat et de la souris, qui danse sitôt le félin parti. On estime la partie achevée quand la souris se métamorphose en ogre insatiable, un monstre d’égoïsme. Les deux disciplines – la danse et la joute – se rejoignent alors : on aiguillonne le partenaire, on le mène par la main, puis par le bout du nez, on s’escrime à distinguer le pas chassé du tapi chasseur… enfin, si c’est une valse, on laisse aller.