Je ne savais pas que, dans l’art des fleurs japonais, à chaque fleur était attaché un domestique particulier qui en lavait les feuilles selon une technique spécifique, adaptée à la singularité du végétal. Si tous les vivants avaient la même déférence pour ce qu’ils mettent en terre, il y aurait sans doute moins de pots aux roses dans les cimetières.