Je ne savais pas que les points de suspension étaient apparus au XVIIe siècle, qui ouvrit dès lors cette vaste parenthèse où se pressent encore les écrivains paresseux… ou, devrais-je dire, un brin hésitants… les demandeurs d’asile et déserteurs syntaxiques… ces Petits-Poucets rêveurs égrenant dans leur course…