Je ne savais pas que mon curriculum vitae était souvent lu par un automate qui, impitoyablement et systématiquement, s’applique à détecter les mots-clefs attendus par le recruteur ; mots-clefs, évidemment, toujours anglicisants, tels que challenge, self-control, ou motivation (à ne pas confondre avec notre homographe chauvin, of course). Finalement, je comprends mieux pourquoi mes candidatures restent sans réponse : elles sont en français, so has been, so porifique, you know ?