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Je ne savais pas que pouvaient fleurir, en zone pariéto-occipitale droite, sur un revêtement malpighien de faible épaisseur constitué de cellules épithéliales au cytoplasme clair et parfois vacuolisé, cernées d’un derme fibrosé mais, néanmoins, dépourvues de couche granuleuse, des sortes de kystes pouvant présenter de très abondantes squames cornées nécrosées ; des excroissances appelées loupes, qui poussent aussi sur le tronc des arbres, à l’endroit des blessures. (Un jour, le ciel – ce ciel avec toi dedans – a dû me tomber sur la tête.)

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